Forum Quad par Quadiste.net

Je me demande si sa a déja arriver a quelqu'un sur le forum de passer sans l'avoir voulu une nuit seul en forêt pour diverse raison (perdu,en panne,condition météo etc..) ?

Si il y en a ils pourait nous raconter leurs histoire,j'aime bien entendre des histoires qui se sont passer dans le bois .......

Alors si sa vous est déja arriver raconter nous ca :wink:

Jamais perdu jusuq'a present.


Mais j'ai passé plusieurs nuit en foret avec des cadets sur des exercises de ratissage/sauvetage. Les exercise etaient qu'on etaient perdu et ils devaient nous trouver.

1. La nuit a la noirceur, tu entends toute sorte de bruits. Donc, facile pour quelqu'un de perdu de paniquer.
2. On apprend que quand tu realise que tu est perdu est d'arreter et regarder ton environnement. a. un feu b. un abri c. eau d. manger.
Mais 90% du monde realisent qu'ils n'ont pas d'allumettes, pas de cabane, pas de robinet ou d'IGA. Donc, la panique totale.

3. Quand tu est perdu, une boussolle faut pas grand chose, un GPS absolument rien, et une mappe papier si tu sait pas t'en servir ne fait meme pas du bon papier de toillette.

4. Par contre, si tu as une boussolle, une mappe et un GPS et que tu sais comment t'en servir en coordonnant les 3. Impossible de te perdre.

5. En passant, quand je vois quelqu'un avec un GPS setter pour lire les coordonnés en Long/Lat, je m'en eloigne. Le pire systeme pour se trouver sur une mappe topo, est bien en Long/Lat. Moins pire, le systeme UTM. Le best et le plus facile, le systeme MGRS qui a ete designé pour etre utiliser par le plus commun des mortels. Un clin d'oeil sur le GPS, un clin d'oeil sur la mappe et voila, tu sais ou tu est.

Pour retourner a la question, quand tu realise que tu est perdu, c'est la panique totale.

ca ne m'a jamais arrivé.. j'allais souvent dans la forêt étant plus jeune, je tripais d'aller passé une ou 2 nuit seul le plus creux possible dans les bois ..., avec mon ptit pac sac et 3 ou 4 canne des soupes et ragout de boulette ou Irish steu ... même que je fesais expret pour me perdre ... mais rien a faire , ... peut etre que mon sens de l,orientation est trop dévelopé pour me perdre ... hihihi

sérieux, je ne souhaite pas ca a personne, si elle ne sont pas préparer ou expérimenter (former) en survie ...

voila, c'étais la cronique a Cay

Cay a écrit : je tripais d'aller passé une ou 2 nuit seul le plus creux possible dans les bois ...,

tranquille et loin de la vaiselle....la belle vie

Des nuits seul en forêt oui mais c'étais voulu
J'ai un terrrain dans le bout de Morin Heights. Les premières années qu'on l'avait, c'était carément dans le bois, personne autour. On allais camper là. Les premières nuits j,ai pas dormi fort fort. On entendait des des cris macabres (en plus des coyotes en stéréo). Ça pris quelques jours avant de me rendre compte que c'étais des grands Hérons (sti que ça cri mal c'té bébites là) après ça dormais mieux. Il y a une héroniere pas très loin du terrain. Les coyote ça m'énerve ben moins que les couleuves

moi se que jadore sest partir avec un paquet dalumetteune canne de peche un pot rempli de vers une perre de pentalon et un chandail de la corde une couvarte . et je saur pas du bois tant que je creuve pas de fin tu atrape pas de poisson tu mange pas de la journer alors la tu cherche nimporte quoi a te metre sous la dant je en sais pas pk mais jaime sa sest la solution miracle pour maigrir mon recor1 semaine alors apres tu veu pu manger du poisson mais une foi je suis rester tout de seul dans le bois mon ami avai été aubiger de partir du au fait quil a des alergi mais 5 plus longe nuit sa fou la chienne ...

Jamais arrivé mais je parlais justement à ma blonde de faire un cour de survi juste pour les connaissances. On ne sait jamais un jour....

Steph a écrit :Jamais arrivé mais je parlais justement à ma blonde de faire un cour de survi juste pour les connaissances. On ne sait jamais un jour....

Ouain toi c'st pour le "bouche a bouche".......

je les fais je sais plus combien de fois ... mais toujours volontairement, jamais parce que j'étais mal pris

YvesKDX a écrit :

Steph a écrit :Jamais arrivé mais je parlais justement à ma blonde de faire un cour de survi juste pour les connaissances. On ne sait jamais un jour....

Ouain toi c'st pour le "bouche a bouche".......

bouche à queue :wink:

Je me suis déjà perdu en faisant ma trail de collet ( chasse au lièvre ).

J'y ai pas passé la nuit... mais bien proche, j'ai réussi a retrouver mon chemin... et ma moto... j'étais ben content car j'avais rien sur moi... meme pas d'alumette...

J'ai pas vraiment eu peur... mais j'avais peur de semer l'inquitude de mon entourage.

Bluesman600 a écrit :
J'ai pas vraiment eu peur... mais j'avais peur de semer l'inquitude de mon entourage.

Entièrement daccord avec toi,j'ai déja passer proche une fois a la chasse a l'orignal ou je m'avait trop éloigner et momentanément égarer et une fois j'ai j'ai passer proche de dormir sur une ile ,car il y avait vraiment trop de houle et de vent pour l'embarcation qu'ont avait,finalement le soir le vent a tomber vers l'heure que je m'était fixer comme dead-line ,car j'avait encore un grand trajet a faire dans un secteur du lac Abitibi ou je n'était pas assez familier pour entreprendre une traversé de nuit.

Tout le temps ou je ne savait pas si je devrais passer la nuit ou non sur cette ile,j'ai eu le temps de réfléchir avec mon parthner,ont a eu bien du plaisir et je crois qu'ont aurait trouver sa amusant d'y passer la nuit,mais ce qui m'inquiètait le plus c'était comment alait réagir notre entourage ,qui aurait probablement passer une moin bonne nuit que nous ou peut-être tenter de partir a notre recherche.

Maintenant je dit toujours a mes proches,surtout avant une randonnée qui peut être périlleuse dans un secteur éloigné,de ne pas s'inquiéter car j'aime mieu dormir sur place que de prendre des risque inutile pour m'en revenir.

Moi ça m'est arrivé une fois.

Les personnes les plus proche étaient à 5 klm de moi mais impossible de les rejoindre car il y avait une rivière avec un fort courant à traverser.

C'était au moins d'octobre durant la chasse à l'orignal.
La chasse commençait le lendemain matin et je voilais être le plus tôt possible sur mon spot.

J'ai donc décidé d'installer ma tente.

Vers 20h il s'est mis à neiger de gros flocon.

Je me suis couché vers 21h. J'ai eu beaucoup de difficulté à m'endormir car les jours précédent on se couchait vers minuit.
De plus il y avait un hibou qui n'arrêtait pas de hululer ce qui faisait tout un écho sur le lac.

Je me suis finalement endormi vers 23h.

À 1h du matin je me suis éveillé car j'avais froid. J'avais les épaules sorties de mon sleeping bag et une envie de pisser.

J'avais vraiment pas le goût de me lever alors j'ai décidé de me retenir.

Tout d'un coup j'ai entendu le foin remuer autour de la tente comme s'il y avait plusieurs bibites qui couraient en tout sens. Ce fût comme ça pendant au moins 2 minutes puis tout à coup plus rien.
Ce fût le silence complet pour environ 1 minutes.

Là j'ai entendu des branches craquer sous le poid de quelque chose de plus lourd. Ça avançait tranquillement et le bruit se rapprochait de la tente.
J'avais le coeur qui me débattait dans le tapis. J'ai décidé de prendre ma carabine sans faire de bruit et j'ai attendu.
Je me suis dit si jamais je vois une ombre je tire au travers de la tente.

Cliss tu ne t'approche pas d'une tente de cette façon en plein milieu de la nuit sans avoir des idées croches derrière la tête.

Tout ça a durée environ 5 minutes puis plus rien.

Tout à coup j'ai entendu du bruit mais ça semblait provenir de l'intérieur de la tente. J'ai senti que quelque chose avait frolé mon sleeping bag.
J'ai allumé ma lampe de poche et je n'ai rien vu.

J'ai passé le reste de la nuit avec le coeur qui me débattait toujours.

Lorsque le jour s'est levé je suis sortit de la tente pour le temps de la chasse.

Au diner je devais rejoindre mes chums pour se rendre au campement principal.
En mangeant je leur ai raconté ma nuit.
Un de mes chums qui devait coucher au même endroit que moi ne paraissait pas trop intéressé à y passer la prochaine nuit.

Finalement il s'est rendu à la tente pour chasser le restant de la journée et vers la fin il est venu nous rejoinde au lieu de rassemblement que nous avions convenu avant de traverser la rivière. Il avait décidé de ne pas coucher là.

Il m'a dit qu'arrivé sur les lieux il avait ouvert la tente pour installer son sleeping bag. Il venait tout juste de s'accroupir à l'intérieur, qu'un rat est sorti du dessous de l'enveloppe qui sert à ranger la tente et il courait en tout sens. Il l'a frappé avec son call d'orignal. Le rat était assomé.

C'est donc avec un cliss de rat que j'avais passé la nuit précédente.

TiKing a écrit :Moi ça m'est arrivé une fois.

Les personnes les plus proche étaient à 5 klm de moi mais impossible de les rejoindre car il y avait une rivière avec un fort courant à traverser.

C'était au moins d'octobre durant la chasse à l'orignal.
La chasse commençait le lendemain matin et je voilais être le plus tôt possible sur mon spot.

J'ai donc décidé d'installer ma tente.

Vers 20h il s'est mis à neiger de gros flocon.

Je me suis couché vers 21h. J'ai eu beaucoup de difficulté à m'endormir car les jours précédent on se couchait vers minuit.
De plus il y avait un hibou qui n'arrêtait pas de hululer ce qui faisait tout un écho sur le lac.

Je me suis finalement endormi vers 23h.

À 1h du matin je me suis éveillé car j'avais froid. J'avais les épaules sorties de mon sleeping bag et une envie de pisser.

J'avais vraiment pas le goût de me lever alors j'ai décidé de me retenir.

Tout d'un coup j'ai entendu le foin remuer autour de la tente comme s'il y avait plusieurs bibites qui couraient en tout sens. Ce fût comme ça pendant au moins 2 minutes puis tout à coup plus rien.
Ce fût le silence complet pour environ 1 minutes.

Là j'ai entendu des branches craquer sous le poid de quelque chose de plus lourd. Ça avançait tranquillement et le bruit se rapprochait de la tente.
J'avais le coeur qui me débattait dans le tapis. J'ai décidé de prendre ma carabine sans faire de bruit et j'ai attendu.
Je me suis dit si jamais je vois une ombre je tire au travers de la tente.

Cliss tu ne t'approche pas d'une tente de cette façon en plein milieu de la nuit sans avoir des idées croches derrière la tête.

Tout ça a durée environ 5 minutes puis plus rien.

Tout à coup j'ai entendu du bruit mais ça semblait provenir de l'intérieur de la tente. J'ai senti que quelque chose avait frolé mon sleeping bag.
J'ai allumé ma lampe de poche et je n'ai rien vu.

J'ai passé le reste de la nuit avec le coeur qui me débattait toujours.

Lorsque le jour s'est levé je suis sortit de la tente pour le temps de la chasse.

Au diner je devais rejoindre mes chums pour se rendre au campement principal.
En mangeant je leur ai raconté ma nuit.
Un de mes chums qui devait coucher au même endroit que moi ne paraissait pas trop intéressé à y passer la prochaine nuit.

Finalement il s'est rendu à la tente pour chasser le restant de la journée et vers la fin il est venu nous rejoinde au lieu de rassemblement que nous avions convenu avant de traverser la rivière. Il avait décidé de ne pas coucher là.

Il m'a dit qu'arrivé sur les lieux il avait ouvert la tente pour installer son sleeping bag. Il venait tout juste de s'accroupir à l'intérieur, qu'un rat est sorti du dessous de l'enveloppe qui sert à ranger la tente et il courait en tout sens. Il l'a frappé avec son call d'orignal. Le rat était assomé.

C'est donc avec un cliss de rat que j'avais passé la nuit précédente.

Excuse mon ignorance car en Abitibi les seul rats que nous avons sont des rats-musqué ,mais je croyait que dans le bas de la province les rats faisait seulement cotoyer l'homme (ferme,ville ) ,je ne croyait pas qu'ont les retrouvait en plein bois comme ca ?

sylva-rancher a écrit : Excuse mon ignorance car en Abitibi les seul rats que nous avons sont des rats-musqué ,mais je croyait que dans le bas de la province les rats faisait seulement cotoyer l'homme (ferme,ville ) ,je ne croyait pas qu'ont les retrouvait en plein bois comme ca ?

Moi je ne fais que répéter ce que mon chum m'a dit.

Nous étions tout près du parc La Vérendrye dans la zec Capitachouane.

Il voulait peut-être dire un rat musqué aussi. Mais il ne l'avait pas spécifié.
De toute manière il n'en demeure pas moins que je n'ai pas dormit seul cette nuit là.